Fondé par Laura Aknin (Diplômée en Administration d’Entreprise et Echanges Internationaux), Adrien Aymerich, avocat au barreau de Barcelone et Dov Haddad, (spécialisé en relations internationales), OMMi est la plateforme qui facilitera tous les propriétaires et les prochains locataires. [hr]

Quel est votre constat de départ?

OMMi part d'une intuition: de plus en plus de personnes sollicitent les réseaux sociaux pour proposer ou rechercher un appartement. La très forte tension locative dans les grandes villes poussent aussi bien les annonceurs que les locataires à se débrouiller par eux-mêmes et déplace le marché de la location sur Internet. Or, sur les sites de publications existants, ce sont des centaines de demandes de visites qui affluent et très vite, le désordre s'installe.

Quelle est votre solution?

OMMi propose aux propriétaires comme aux locataires de reprendre le contrôle de leur location en l’organisant à travers des outils simples et performants. Les locataires numérisent leur dossier de candidature une bonne fois pour toutes sur le site. Ils n'ont plus qu'à candidater à en ligne à toutes les annonces de leur choix et suivent en temps réel l'avancement de chacune de leurs candidatures. Pour la recherche, que ce soit sur un plan de Métro, par Quartier ou à l'aide d'un Dessin, les candidats s'y retrouvent dans un Paris qui leur ressemble. De leur côté, les Annonceurs reçoivent des dossiers complets et organisent les rendez-vous directement sur le site.. Plus besoin de dépenser du temps, de l'argent et du papier.

Quel est votre business model?

Le Business Model d’OMMi s’articule autour d’un modèle freemium. Le site est entièrement ouvert et gratuit à tous les annonceurs (Bailleurs particuliers, SCI et agences) mais aussi à tous les candidats à la location.

OMMi met en place des solutions payantes de mise en avant aussi bien pour les locataires que pour les annonceurs pressés.

Pouvez-vous nous raconter votre plus belle annecdote de startuper?

On a plein de très bonnes anecdotes, mais toutes racontent la même histoire:

en un peu plus d'un an de travail sur OMMi, on a rencontré autant de problèmes qu'une entreprise traditionnelle en deux siècles. Etant déjà tous très proches à l'origine, on a pu mesurer dans l'adversité à quel point on l'était vraiment.

Quelle a été votre plus grosse galère?

Sur l'échelle du pire, on a eu: une faillite de notre prestataire principal, un projet de loi tombé du ciel qui nous a obligé à changer de modèle et... la varicelle.

Recherchez-vous actuellement des fonds?

Pas pour le moment.

Une actualité particulière à mettre en avant?

Oui, OMMi vient d'être lancé.

Si vous lisez cet article et que vous recherchez un appart à Paris, plus besoin de chercher plus loin: www.ommi.fr