Passionné par la cuisine depuis de longues années, Denis Fernandez a décidé d'écouter ses envies et de se lancer dans le monde de la cuisine. Formé à l'Institut Paul Bocuse, il a eu l'idée de monter un service de livraison à domicile de plats frais dont il serait le chef dans le but de partager sa passion au plus grand nombre. Thomas Garotin, CEO de Miam&Go, nous explique ce concept.
Quelle est l’idée de départ du projet ? À quel besoin répond-il ?
L’idée est d'apporter une réponse à deux problèmes de la vie de tous les jours : "on mange quoi ce soir ?" et "comment privilégier le meilleur pour sa santé ?", tout en proposant une solution simple et pratique à utiliser. En bref, permettre à tous d’accéder à une alimentation saine, équilibrée, faite maison et préparée sans colorant, conservateur ou ajout artificiel.
Cette idée répond aux besoins des personnes qui emportent leur repas au travail le midi, qui ne disposent pas de restaurant d'entreprise ou qui ne veulent pas manger, au quotidien, dans le même restaurant et souhaitent une alimentation saine et variée. Aussi, à tous ceux qui n'ont pas le temps (ou le courage) de se faire à manger le soir. C'est pourquoi nous avons choisi de proposer des box de plats frais par abonnement, ce qui permet de s'adapter aux besoins de chacun en tout simplicité. Plus besoin de commander au coup par coup, tous les plats se conservent directement au frigo. Ainsi, il y aura toujours un bon plat à manger.
Quel est le montant de cette campagne ? À quoi vont servir les fonds ?
Nous souhaitons récolter au moins 5 000 euros. Les fonds seront répartis pour finaliser les derniers achats indispensables pour le lancement de l'activité, comme par exemple une cellule de refroidissement ou encore une chambre froide.
Quelle est l’ambition du projet ?
Nous souhaitons devenir rapidement un acteur clé sur ce marché de la livraison à domicile de plats frais. Nous réfléchissons aussi à faire évoluer notre offre en fonction des retours que nous aurons lors de notre lancement. En ce qui concerne la possibilité d'exporter nos produits, pourquoi pas, mais nous allons déjà nous fixer sur la France.
