Cédric Guinais, associé fondateur de LegalActe, répond à nos questions à propos de sa solution de dématérialisation des documents juridiques accessible à tous sur Internet.
D’où vient l’idée ? Quel a été le constat de départ ?
Nous avons compris l’impact que pourrait avoir le monde du numérique sur le métier d'avocat et sur la façon de l’exercer. Les codes et façon d'exercer ont, en effet, considérablement évolué ces dernières années, notamment en raison du développement des nouvelles technologies mais aussi parce que les chefs d’entreprises en ont tiré de nouvelles attentes. Ce constat a donc donné naissance en 2010 au lancement du site Internet LegalActe.fr ayant pour objet de permettre à nos clients d’accéder à des modèles d’actes juridiques rédigés par des avocats.
Pouvez-vous nous présenter votre outil ?
Ces nouvelles exigences ont permis d’affiner notre offre LegalActe afin de fournir de nouveaux services consistant en la mise en place d’un logiciel d’assistance rédactionnelle, d’un service de signature électronique et d’un service dématérialisé dédié aux formalités auprès de l’ensemble des greffes des tribunaux de commerce de France pour une réalisation rapide, sécurisée et fiable de l’opération juridique.
Quel est votre business model ?
Nous générons du chiffre d'affaires en B to C mais souhaitons développer également le B to B en marque blanche pour permettre aux professionnels d'utiliser notre service directement auprès de leurs clients. Nous allons également générer du chiffre d'affaires en passant par du référencement payant et naturel.
Une actualité financière ?
Pas de levée de fonds prévue pour le moment. Notre financement est assuré par les associés et sur fonds propres. Nous voulons par ailleurs asseoir notre service et notre modèle avant d'éventuellement penser à lever des fonds.
Quels sont les outils que vous utilisez quotidiennement ?
Nous utilisons chaque jour des services de signatures électroniques cryptées et des journaux d'annonces légales mais également des logiciels tels que Google analytiques ou adwords.