Chaque vendredi, dans sa revue de presse, Maddyness vous propose une sélection d’articles qui ont retenu l’attention de la rédaction.
Pas d'innovation sans intelligence collective !
L’innovation, particulièrement l’innovation digitale, est partout. C’est la condition sine qua non, malgré tout sans garantie, de la pérennité d’une entreprise quel que soit son secteur d’activité. Sans garantie car il faut encore que l’innovation réponde à un besoin réel des clients : qu’elle rime avec simplicité et accessibilité, que d’elle découle un service qui facilite le quotidien des consommateurs. Alors, comment appréhender, nous entreprises, l’innovation telle que nous l’imaginons pour nos clients ? En investissant certes : un investissement en temps, en curiosité, en recherche aussi. Un investissement humain surtout. Lire la suite sur la page LinkedIn d'Adrien Couret, directeur général délégué du groupe Macif
Unicorns have stopped breeding so much in the fields of Silicon Valley
The grass is no longer quite as green in the tech pastures of California. While cash still flows freely and investors and late-stage startups are raising record sums, the number of new startups whose valuations have cracked at least $1 billion in the last year is slowing down. Last year, only 10 new companies were anointed as so-called unicorns by passing the $1 billion threshold. This year the number of such startups is on a similar trajectory, reports private equity research firm PitchBook, which analyzed such billion-dollar startups in its latest report. By comparison, about 35 new unicorns were born each year in 2014 and 2015. Lire la suite sur Quartz
«Facebook nous pousse à une forme de régression infantile»
Pourquoi 65% des salariés consultent leurs boîtes mail toutes les cinq minutes ? Sans parler des smartphones greffés à nos mains ? Comment a-t-il pu devenir si normal de tout dire et tout partager sur les réseaux sociaux ? Quelles fragilités ces usages viennent-ils colmater ? Qu’est-ce qu’une relation virtuelle sur un site de rencontre ? À quoi carburent les hikikomori, ces ados et adultes japonais qui ne sortent plus de leur chambre pendant des mois ou des années pour jouer aux jeux vidéo ? Quid de la boulimie d’infos, du cyberbashing ou de l’ère des trolls ? Psychologue et psychanalyste français connu pour son utilisation des jeux vidéo comme outil thérapeutique, Michael Stora n’est pas subitement passé du côté de ceux qui diabolisent les écrans et multiplient les recettes supposées magiques pour « déconnecter ». Mais avec Hyperconnexion (Larousse, en librairie le 30 août 2017), observation détaillée de nos comportements excessifs vis-à-vis du numérique, il démontre qu’un glissement s’est opéré. Un glissement vers la gamification de nos existences et la raréfaction de l’empathie. Lire l'interview sur Usbek & Rica
How ‘Doxxing’ Became a Mainstream Tool in the Culture Wars
Riding a motorized pony and strumming a cigar box ukulele, Dana Cory led a singalong to the tune of “If you’re happy and you know it clap your hands.” “You’re a Nazi and you’re fired, it’s your fault,” she sang. “You were spotted in a mob, now you lost your freaking job. You’re a Nazi and you’re fired, it’s your fault.” “All together now!” Ms. Cory, 48, shouted to a cheering crowd in San Francisco’s Castro neighborhood on Saturday. They were protesting a rally planned by far-right organizers about a mile away. “Dox a Nazi all day, every day,” she said. Lire la suite sur le New York Times
Que deviennent les données des applications pour le suivi des règles ?
L’écran de votre téléphone s’allume, et une notification colorée vous prévient : « Vos règles sont sur le point de commencer. » Cette scène est de plus en plus courante dans la vie des femmes. Suivi des règles, Clue, Flo, Glow, Maya, pTracker…, les applications de suivi des cycles menstruels ont envahi les catégories « Santé » des boutiques en ligne d’Apple et de Google. Et ce sans compter celles qui peuvent être utilisées pour calculer les chances de tomber enceinte ou pour suivre la grossesse. Ces applications brassent les données de millions de femmes réglées dans le monde entier. Or, la façon dont peuvent être utilisées ces données n’est pas toujours très claire. Lire la suite sur Le Monde