Chaque vendredi, dans sa revue de presse, Maddyness vous propose une sélection d’articles qui ont retenu l’attention de la rédaction.
Les entrepreneurs repoussent leurs frontières
"On s’est vite rendu compte que notre nom n’était pas prononçable par les non-francophones, raconte Héloïse Pierre, cofondatrice de la start-up éditrice de la box éducative Topla, anciennement Déclic et des Trucs. Ils trouvaient ça mignon, amusant, mais ça posait quand même problème. Il a fallu en changer et ça représente un investissement non négligeable?: 2.500 euros dans notre cas." A l’instar de Topla, nombre de startups ont vécu la mésaventure du changement d’identité, l’exemple le plus connu étant BlaBlaCar, lancé en France sous le nom de Covoiturage.fr, et en Espagne sous celui de Comuto. Lire la suite sur Les Echos
Bat At Negociating? Facebook Is Working On Bots That Can Do It For You
We all want to be great negotiators, but most of us don’t do it that effectively. How many times have you tried to make a deal, only to blink first and give up the one thing that you cared most about? A new research project from Facebook aims to help us get more of what we want—and save us the hassle of having to go head-to-head to do so. The project, from Facebook’s artificial intelligence research group (FAIR), builds on the social network giant’s work over the years to enable tools like chatbots to engage in short, natural-language conversations. But while current publicly available bots are capable of doing things like booking a restaurant table, they’ve proven less adept at carrying on a meaningful conversation due to the challenge of understanding what we’re saying and combining that with their knowledge of the world we live in. Lire la suite sur Fast Company
Comment les Russes peuvent acheter des "likes" et des "followers" en supermarché
La devise officielle des réseaux sociaux est l’influence. Plus vous en avez, plus vous avez de résonance, donc du pouvoir, pour vendre des idées ou des produits. Cette influence se mesure en "followers" ("suiveurs"), en amis, en nombre de personnes qui sont exposées à ce que vous diffusez. Comme tout système, il peut être manipulé : en achetant des faux "followers" ou de faux "likes", la résonance gonfle artificiellement. On donne l’impression d’être plus populaire qu’on ne l’est réellement. Un exemple parmi d’autres : le compte Twitter de Donald Trump, un des plus suivis de la planète, compte 31 millions de "followers", dont la moitié seraient des robots, selon l’application Twitter Audit. Lire la suite sur Le Monde
How Companies Actually Decide What to Pay CEOs
In 2014, 500 of the highest-paid senior executives at U.S. companies made nearly 1,000 times as much money as the average American worker, after taking into account salary, bonuses, and stock-based compensation. That discrepancy is so enormous that it prompts a question: How exactly do companies come up with and calibrate the often-colossal pay packages they give to their leaders? Through the 1970s—when the ratio of CEOs’ pay to that of the average worker was much lower, at somewhere between 20:1 and 30:1—the lodestar was “internal equity,” or how an executive’s pay compared with that of other employees in the company. Lire la suite sur TheAtlantic
Foodtech : la face cachée des services de livraison de repas à domicile
En 2022, le marché de la “FoodTech” devrait générer 250 milliards de dollars de chiffre d’affaires dans le monde, selon Research and Markets. De quoi parle-t-on ? Ce terme à la mode désigne l’alliance entre le secteur de l’alimentation/restauration et les TIC, destinée à optimiser l’activité d’une enseigne ou d’un restaurant. Le sous-secteur le plus en vogue de la FoodTech, c’est celui de la livraison de repas (à domicile, ou au bureau), qui pèse 1 milliard d’euros en France et 20 milliards en Europe. Parmi les startups et entreprises les plus connues, et qui livrent, via leurs applis, des repas chauds allant de simples pizzas à de vrais plats gastronomiques, on retrouve AlloResto, qui passe par une société de coursiers, mais aussi Deliveroo, Foodora et UberEATS, qui font appel à des livreurs indépendants. Lire la suite sur CNetFrance
Les États-Unis s’inquiètent des investissements chinois sur l’IA dans la Silicon Valley
Aux États-Unis, l’inquiétude autour des intelligences artificielles ne se limite pas à leur potentielle révolte — comme le redoute notamment Elon Musk — ou au remplacement progressif de l’homme dans tous les domaines d’activité. L’administration Trump se penche plutôt sur les opérations financières réalisées par des entreprises chinoises auprès d’entreprises de la Silicon Valley. Elle se dit prête à renforcer sa surveillance sur ces investissements étrangers, tout particulièrement en matière d’IA, un domaine jugé sensible pour la sécurité nationale américaine. Lire la suite sur Numerama