Retrouver ses amis rapidement et simplement, voilà la promesse de Join Me Now. L’application propose non seulement de faire savoir instantanément à vos amis que vous êtes libre, mais surtout de les inviter à vous rejoindre ou leurs proposer une activité.
Lancée par la startup parisienne Debtech, l’application Join Me Now, disponible sur Appstore et Google Play depuis la fin du mois d’octobre repose sur un concept simple, et inattendu : vous avez un moment de libre, envie d’aller boire un verre ou simplement ne souhaitez pas rester seul, vous sélectionnez des amis et leurs envoyez une invitation.
Inviter quelques amis peut rapidement prendre du temps et se transformer en un long échange de messages : « A quelle heure ? Où? Qui vient ?... ». Autant d’informations demandées par vos amis qui seront renseignées dès l’envoi de vos invitations (à l’image d’un événement Facebook) et qui simplifiera grandement vos retrouvailles.
Transformer le temps libre en moment de partage
« On vit dans l’immédiateté, l’instantanéité, l’application décomplexe les gens qui s’organisent à la dernière minute », explique Antoine Dorland, le fondateur de Join Me Now. L’objectif de l’application est aussi de permettre d’inviter ses amis à la dernière minute, sans pour autant avoir l’air de rechercher des personnes par crainte de solitude.
« Finalement l’expérience transforme un temps mort en un moment de partage, avec ses amis, et dans la vrai vie. », poursuit ce dernier. Une application dont le cœur de cible est principalement les jeunes, mais dont l’utilisation peut être diverse : aller déjeuner avec des collègues, retrouver un ami suite à l’annulation d’un rendez-vous etc.
Un service similaire à celui lancé par Google récemment aux Etats-Unis : Who’s Down qui permet de signaler à ses amis que l’on est disponible ou de voir qui parmi eux est libre. Pour le moment les fondateurs se disent encouragés et heureux des premiers retours. Ils promettent déjà d’enrichir l’expérience utilisateur de nouvelles fonctions si le succès est au rendez-vous.
Article écrit par Guillaume Chabant
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