Chaque semaine, Maddyness reprend dans sa revue de presse l’actualité startups qui a retenu l’attention de la rédaction dans la presse. Si vous n’avez rien suivi de la semaine, pas de panique, tous les éléments importants sont sur Maddyness et dans la revue de presse.
Les entreprises françaises sont-elles prêtes à recruter sur mobile ?Le recrutement apparaît aujourd’hui comme un travail de séduction à grande échelle auquel se livrent les entreprises pour dénicher les meilleurs talents et faire rayonner leur marque employeur. Une concurrence exacerbée qui nécessite d’être toujours au fait des dernières innovations en date mais aussi et surtout d’avoir un haut niveau de réactivité. (AzertyJobs) |
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Ces barbares qui sont notre avenirAchaque fois que l'économie entre dans une phase de mutation, c'est-à-dire tous les soixante ou soixante-dix ans, c'est la même chose. D'un côté, une grande partie des observateurs sous-estiment ou ne voient carrément pas la vague d'innovations qui se lève ; de l'autre, ceux qui voient arriver la vague, au lieu de surfer dessus, sonnent le tocsin et courent apeurés de la plage vers le village. (Les Echos) |
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La France, ce pays qui crée des start-up à la chaîne"Un muffin avec un smoothie ?", propose le jeune barbu à lunettes d'intello derrière son comptoir. Pour les accros au café tartine, mieux vaut rejoindre le troquet d'en face. Car à la cafétéria du Numa, QG de jeunes entreprises du numérique, le petit déjeuner est plutôt californien. Comme dans toutes les "pépinières" de ce quartier parisien rebaptisé Silicon Sentier, en clin d'œil à la Silicon Valley de San Francisco, berceau des Google, Facebook, Amazon... (Capital) |
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Réinventer l’innovation, clé du rebond de l’industrie françaiseAu vu des dernières statistiques publiées par l’INSEE, l’industrie française commence à peine à juguler l’hémorragie qui l’affecte depuis les années 2000, et s’en tient pour l’heure à freiner les destructions nettes d’emplois. Faut-il accueillir ces chiffres avec optimisme ? (Usine Nouvelle) |
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L'Inpi part à la conquête des PME pour les convertir à la propriété intellectuelleTrop long, trop cher, trop complexe ... L'Inpi (Institut national de la propriété industrielle), l'établissement public qui gère les titres de propriété industrielle en France, a décidé de tordre le cou à ces préjugés qui collent aux brevets et autres marques et dessins. Yves Lapierre, un ancien d'Areva qui a pris les rênes de l'établissement en 2010, cible clairement ces entreprises moyennes de croissance. (Les Echos) |
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