Paessler, un des leaders dans le domaine des solutions de surveillance réseau, livre une infographie sur la surveillance du réseau informatique pour les startups et grandes entreprises. Le monitoring de réseau IT est un outil très important pour la croissance des TPE / PME, surtout lorsqu’elles sont amenées à se développer très rapidement et gérer des problèmes inattendus.
Le monitoring est devenu un outil indispensable pour les grandes entreprises, et il est important que les petites structures l'adoptent également. En effet, en pleine croissance, elles ont besoin d'être rapidement opérationnelles afin d'attirer des clients. Le monitoring permet de détecter des pannes du réseau informatique à l'aide notamment d'une surveillance ou d'une supervision grâce à des capteurs, avant qu’elles ne surviennent afin que l’IT puisse agir rapidement.
Paessler a mené une étude auprès de nombreuses startups et compare leurs réels besoins IT avec ceux des grandes entreprises, et les conséquences d’une panne informatique non détectée.
Les startups sont plus sujettes aux dérèglements à court et moyen termes, car elles ne sont forcément préparées au succès, à une croissance rapide ou encore à des pics de fréquentation. Elles sont, le plus souvent, peu connues des marchés, et peuvent générer de la méfiance ou un manque de confiance de la cible. La majorité d'entre elles sont présentes sur le web et au moindre bug de réseau ou panne, cela engendre des pertes réelles. Les problèmes les plus courants sont liés aux bugs lors de la commande en ligne et lors des opérations de paiement, ou encore la gestion des marchandises.
Pour les grandes entreprises, les pics de fréquentation sont plutôt bien gérés par les équipes marketing. La confiance des clients a été établies au fil des années, et la société propose généralement des produits physiques et peut poursuivre son activité en offline si besoin. Les problèmes informatiques sont très vite gérés par une équipe en interne. Les raisons des défaillances totales sont gérées par des pannes techniques du système à 61%.
Les chiffres sont issus d’une étude de l’Association Fédérale des Sociétés d’Investissement Allemande (Bundesverband Deutscher Kapitalbeteiligungsgesellschaften).