Face to Face mène une vente solidaire pour Thanks for Nothing
Jusqu'à la fin du mois de juillet, la plateforme de mode Face to Face propose une sélection de produits en collaboration avec les créateurs de l'association Thanks for Nothing. L'association, créée en 2017, par un collectif de femmes, cherche à créer des liens entre le monde de l'art et le monde associatif afin de promouvoir la défense des droits humains, l'éducation et la protection de l'environnement. Créoles, pochettes ou encore produits de beauté sont disponibles sur l'eshop Face to Face et 10% des bénéfices des ventes de ces produits viendront contribuer aux projets menés par l’association.
La néobanque Green-Got s'associe à Pur Project
Pas encore lancée, déjà engagée : la néobanque verte Green-Got, dont les premiers comptes doivent être disponibles en fin d'année, a noué un partenariat avec la structure spécialisée dans la compensation carbone Pur Project. Dès le 25 juillet, chaque utilisateur·trice qui se préinscrit sur le site de la néobanque obtiendra un code de parrainage qu'il ou elle pourra partager avec ses proches. Dès que le code est utilisé, un arbre sera planté pour l'utilisateur·trice un un autre pour son proche. "Chaque personne pourra ainsi être à l’origine de la reforestation de dizaines d’arbres. Les arbres seront plantés à l’ouverture des comptes" , précise la startup. Ce partenariat permettra également de financer quatre projets en Indonésie, Amérique du sud, Afrique équatoriale et Europe Centrale.
Lime, Dott et Tier autorisés à opérer à Paris (les autres priés d'aller voir ailleurs)
La Mairie de Paris a rendu son verdict, attendu de longue date après l'appel d'offres qu'elle avait lancé il y a déjà plusieurs mois. Lime, qui a récemment récupéré les trottinettes Jump d'Uber, Dott et Tier sont donc les trois opérateurs qui auront droit de cité dans la capitale, qui représente le marché européen le plus important en matière de micro-mobilité. Chacune des trois sociétés pourra déployer 5000 engins. Un sacré revers pour les treize autres opérateurs qui avaient déposé un dossier, notamment le Suédois Voi qui s'était allié à BlaBlaCar pour bénéficier de l'appui d'un partenaire local mais aussi Pony, fondé par des Français, qui a renoncé au free floating traditionnel pour privilégier l'achat et le partage des engins entre particuliers. Pour ce qui concerne les stations de charge des trottinettes électriques, la Mairie teste depuis début juillet celles de la startup américaine Charge.