Ils vous habillent déjà, ils vous proposent maintenant d’habiller vos locaux. Après s’être imposé sur le marché du textile et de l’objet personnalisé à destination des entreprises, Kymono, la startup spécialisée en " culture design ", offre dorénavant une solution d’aménagement sur-mesure des espaces de travail.
Créé en mars 2017 par Olivier Ramel, qui, adolescent, dessinait déjà les pulls de son lycée, et l'incubateur The Family, Kymono a d’abord séduit des startups avant de très vite réussir à attirer des grands comptes tels qu'Airbnb, Facebook, Google, LVMH, L’Oréal ou encore Accor Hotels. Travaillant avec une usine normande, la marque permet de personnaliser plus de 300 références allant du tee-shirt au sweat, en passant par les bombers, casquettes ou chaussons, en apposant sur ces produits le nom sérigraphié, floqué ou collé en laine bouclée de l’entreprise de ses clients. Aujourd’hui, la jeune pousse annonce un chiffre d’affaire de 2,5 millions d’euros sur l’année écoulée et vise un montant trois fois supérieur en 2019, grâce notamment à l’ouverture de ses showrooms à Paris, Londres, Madrid et Berlin.
Aller plus loin dans la création d’une culture d’entreprise
Pas rassasiée par ce succès et souhaitant continuer à attirer de nouveaux clients, Kymono a réfléchi à comment étendre son offre. C’est ainsi qu’est né Kymono Office Design. " La culture et l’identité d’une entreprise sont essentielles afin d’attirer et de fidéliser ses collaborateurs. Les entreprises comme Google, Airbnb, Big Mamma l’ont bien compris et font appel à nous depuis maintenant deux ans. Aujourd’hui, nous souhaitons aller plus loin en développant une offre 360 dans l’expression de la culture d’entreprise avec l’aménagement des espaces de travail ", explique Olivier Ramel.
La nouvelle offre de la startup s’articule autour d’un catalogue de produits personnalisables, d’un accompagnement dans la conception et la réalisation des espaces de travail, de conseils et d’une veille des dernières tendances afin de proposer des solutions spécifiques aux besoins de ses clients. Cette nouvelle corde à l’arc de la jeune pousse de la personnalisation ne devrait pas être la dernière. Dès mai 2017, deux mois après la création de Kymono, Olivier Ramel confiait à la rédaction de Maddyness déjà réfléchir à lancer dans le futur une verticale de conseil pour aider les startups à mieux communiquer.