D’après une enquête BNP, les entrepreneurs font de plus en plus appel au financement participatif. 38% des porteurs de projets privilégient même le crowdfunding aux autres types de financement comme les banques, l’apport personnel ou le financement public. Là où le crowdfunding apporte une innovation majeure, c’est qu’en tant que porteur de projet, vous allez vous adresser à des investisseurs particuliers qui vont vous challenger sur votre concept pendant que vous levez des fonds. Ces personnes sont prêtes à rentrer dans votre capital ou à vous prêter de l’argent, et ensuite à vous ouvrir leurs carnets d’adresses ou devenir clients et ambassadeurs de vos produits.

Alors, comment gérer une multitude d’investisseurs ? En France, une trentaine de plateformes de crowdfunding sont justement là pour proposer à leurs utilisateurs cette animation. Parmi elles, WiSEED compte une communauté de plus de 100 000 investisseurs et un portefeuille de plus de 300 projets financés. " À quatre mains, entre la plateforme et l’entrepreneur, il y a une animation de la communauté d’investisseurs pour chaque projet. Notre outil digital permet à chaque dirigeant de s’adresser à ses investisseurs avant, pendant et après la levée de fonds. Ceci permet de maintenir une relation saine et productive, où l’entrepreneur délègue une partie du travail à la plateforme afin de se concentrer sur sa levée de fonds et le développement de son chiffre d’affaires ", nous explique Yannig Roth, Directeur Marketing et Communication chez WiSEED.

Investisseur ou entrepreneur, une solution adaptée à tous !

Face à une concurrence exacerbée et la montée de nouvelles formes de financements, comme les cryptomonnaies, les plateformes de crowdfunding doivent accentuer leur rôle de tiers de confiance à travers l’accompagnement, la modération ou bien encore l’animation. Pour mener à bien leurs missions et répondre aux prochains enjeux de fond, les stratégies des plateformes de financement participatif diffèrent. De son côté, WiSEED place plus que jamais l’investisseur au cœur de sa réflexion. " On a toujours eu l’ambition d’amener la finance à tout le monde et de la mettre au service de l’investisseur particulier. Aujourd’hui, on lui amène des projets de qualité, il peut les découvrir grâce à un site communautaire performant, et il peut investir en quelques clics. Demain, on va peut-être lui proposer d’autres services : accompagnement sur sa stratégie patrimoniale, sur sa fiscalité ou identification pro-active de nouvelles opportunités d’investissement ", raconte Yannig Roth au sujet des services dédiés aux besoins des investisseurs.

Depuis quelques années, le financement participatif commence progressivement à s’ouvrir aux fonds d’investissements. L’accueil dans l’écosystème du crowdfunding de gros investisseurs institutionnels va certainement bouleverser le paysage. Yannig Roth en a parfaitement conscience : " On verra s’ils se reconnaîtront dans la logique du crowdfunding avec la transparence que permettent les plateformes. Quels seront les choix stratégiques des plateformes à l’avenir ? Et les particuliers auront-ils toujours leur place ? ". L’avenir pourrait rapidement nous apporter des premiers éléments de réponses. Et pour développer un accompagnement toujours plus personnalisé, que ce soit à destination des porteurs de projets ou des crowdfunders, les plateformes pourraient bien se métamorphoser dans les prochaines années avec la montée des nouvelles technologies. WiSEED, par exemple, a lancé deux nouvelles fonctionnalités auprès de sa communauté, après une phase de test auprès de ses investisseurs Premium : un fil d’actualités personnalisé, à la manière d’un réseau social, et des recommandations d’investissement automatisées, basées sur le profil de chaque investisseur.

L'intelligence artificielle bientôt au cœur des plateformes de crowdfunding ?

Retail, intelligence artificielle, nouvelles interfaces utilisateurs ou bien robots d’investissements… L’innovation au service du crowdfunding va venir de l’ensemble des usages technologiques et digitaux que l’on retrouve dans le commerce. " Le métier des plateformes ira au-delà de l’animation de plateformes communautaires, il intégrera d’autres types de technologie, comme l’intelligence artificielle ", confirme Yannig Roth. À terme, les plateformes vont évoluer et ne seront peut-être plus le seul moyen de connecter les entrepreneurs et les investisseurs. " Il y aura des nouvelles technologies, des nouvelles monnaies d’échange, des technologies vocales ou géolocalisées qui permettront de réaliser et suivre des investissements ", ajoute l'intéressé.

L’innovation va donc intervenir avant tout dans l’usage. Les plateformes seront toujours des opérateurs technologiques dont le métier est de connecter des investisseurs et des entreprises, mais la mise en relation se fera différemment. A l’avenir, l’investissement se fera de manière plus personnalisée, avec un suivi permanent et des recommandations à tout moment. " Notre métier ne consiste pas uniquement à animer un site internet. Nous sommes des acteurs innovants de l’investissement, tout comme Amazon est un acteur innovant du commerce. Leur métier va bien au-delà du site web, ils ont bien compris l’intérêt d’avoir un ensemble de services qui répondent à différents besoins du consommateur ", conclut le Directeur Marketing et Communication de WiSEED, qui ne manque pas de rappeler la mission de la plateforme : faire le lien entre les investisseurs et les porteurs de projets, et créer de la valeur à leurs côtés.

À l’image des crypto-monnaies, certainement la plus spectaculaire des innovations dans le secteur ces dernières années, les plateformes de crowdfunding s’adaptent aux nouvelles technologies et s’emploient à imaginer des projets et des expériences à la hauteur des plus hauts standards du web et des exigences de transparence des investisseurs, raison d’être de la finance participative.

 

Maddyness, partenaire média de WiSEED.