Chaque vendredi, dans sa revue de presse, Maddyness vous propose une sélection d’articles qui ont retenu l’attention de la rédaction.

Cybersécurité : "La France connaît une pénurie de formateurs"

L'Université de Montpellier a lancé en 2011, dans le cadre d'un projet européen "2CENTRE" visant à créer un pôle de compétences dans l'UE, une formation baptisée "Cybercriminalité : droit, sécurité de l'information et investigation numérique légale", l'un des premiers diplômes universitaires sur ces thèmes et positionné de cette façon en France. "Plusieurs formations techniques existaient, mais il y avait un énorme manque en terme de formation pluridisciplinaire sur le sujet, estime Adel Jomni, enseignant-chercheur et responsable de la formation. C'est une formation transversale, et non pas une spécialisation en cybersécurité : nous étudions à la fois les dimensions technique, juridique, etc. pour acquérir des compétences en plus de la sienne." Lire la suite dans La Tribune

Fleur

Silicon Valley doesn’t like to talk about its investment in marijuana companies

Silicon Valley is down on weed. Venture firms have mostly watched from the sidelines as the cannabis industry has grown into a multi-billion dollar business. This isn’t entirely by choice. Venture capitalists themselves love massive new markets with few dominant competitors (recall search engines, mobile apps, and social networks). But most firms have been anxious about cannabis. Many operate under what are known as “vice clauses,” restrictions imposed by backers, usually large institutions such as pension funds, that prevent them from investing in certain sectors such as firearms, pornography, or drugs. Legal questions remain unresolved about how the US federal government will treat marijuana companies despite legalization in a growing number of states. A stigma persists as well: many of who those who have invested in the industry have been reluctant to even disclose that fact. Lire la suite sur Quartz

Kylie Jenner

Kylie Jenner a-t-elle vraiment fait perdre un milliard de dollars à Snapchat ?

Entre le monde des nouvelles technologies et celui des célébrités, il n'y a souvent qu'un pas. Celui-ci a été allégrement franchi par Kylie Jenner mercredi. La jeune femme, sœur de Kim Kardashian et connue pour avoir développé sa marque de maquillage, est une fervente utilisatrice de Snapchat, l'application de photos et de vidéos éphémères. Cette dernière a récemment changé de design. Cette nouvelle version a été très mal accueillie par certains utilisateurs, dont Kylie Jenner. «Est-ce qu'il y a des gens qui n'ouvrent plus jamais Snapchat désormais?» s'est-elle interrogée mercredi sur son compte Twitter. «Ou peut-être que c'est juste moi.... ugh, c'est vraiment trop triste». Quelques heures plus tard, elle a précisé qu'elle «aimait toujours Snapchat, car c'est mon premier amour». Trop tard: de nombreux médias n'ont pas attendu pour faire le lien entre une baisse récente de Snap en Bourse et les propos de Kylie Jenner. «En un tweet, Kylie Jenner a coûté 1,3 milliard de dollars de valorisation à Snap», a affirmé le site américain Bloomberg. La vérité est un peu plus complexe. Lire la suite sur Le Figaro

Fleurs

Hi Hi Good Morning Hi I Love You It’s Me

I remember exactly when the messages began in earnest. In January 2017, on a visit back to Guyana, the former British colony where I was born, I casually revealed to my distant cousins that I was on WhatsApp. I had spent years away, going to college and navigating adulthood in New York. We promised to stay in touch. We were family, bonded. No separations could break that. Soon after I returned home to New York, the first message landed with a “PING!” at full volume, a few hours after I had drifted off, exhausted from a hectic night in the newsroom. It read: “Gm.” Lire la suite sur The New York Times

Croisement 2

"Les GAFA seront bientôt à la croisée des chemins"

Il était temps. Après des années d’utilisation insouciante des ­réseaux sociaux et autres services numériques « gracieusement » mis à la disposition des ­consommateurs par les « philanthropes » de la Silicon Valley, l’heure semble être à la prise de conscience. Longtemps resté lettre morte, l’aphorisme « si c’est gratuit, c’est vous le produit » n’est plus une abstraction. Enquêtes d’opinion et prises de parole se succèdent pour dénoncer la collecte des données personnelles en ­ligne. Une étude internationale menée récemment en Chine, en Inde, en France et aux Etats-Unis par l’agence BETC révélait l’inquiétude des internautes à propos de l’usage de leurs données personnelles par les entreprises. Lire la suite sur Le Monde

Smartphone 4

Phones should be 'slaves, not masters'

We need to return to being the masters of our technology and stop being slaves to our phones, says Samsung’s head of mobile for the UK. Following increasing unease from technology insiders and development expertsthat young and old alike are becoming increasingly addicted to smartphones, social media and the constant need for messaging, Samsung’s head of mobile in the UK says that something needs to change to stop the constant heads-down relationship we have with our devices. Lire la suite dans The Guardian