Chaque vendredi, dans sa revue de presse, Maddyness vous propose une sélection d’articles qui ont retenu l’attention de la rédaction. Cette semaine, impossible de passer à côté du brulot de TechCrunch sur l'écosystème startup français voué à l'échec et de la réponse de VentureBeat.
Vive la France! Vive la Tech!… But do these two great tastes taste great together?
I spent last week on a junket in Paris, paid for by the French government, visiting the various hubs and spokes of the burgeoning French startup scene. I don’t think they’ll invite me back, after they read this. My considered assessment is that the French government, and to an extent the larger French tech scene, lacks ambition, boldness, and confidence, and their technology strategy is doomed to failure.
Source : TechCrunch
Dear French entrepreneurs : Please stop giving a f–k what the world thinks of you
A recent tour of the Paris tech ecosystem for a contingent of international journalists provided me with additional confirmation of what I have seen and felt during the almost two years I have lived in France: The country is experiencing a groundswell of entrepreneurship that marks a radical break from its past.
Source : VentureBeat
Les Français, freinés dans leur créativité ?
Les Français manquent de confiance dans la capacité d’innovation de leur pays . Alors que les pouvoirs publics ne cessent de revendiquer le dynamisme de la France en matière d’innovation et de création de jeunes entreprises, la perception des Français est toute autre. Ainsi, 60% estiment que le France accuse un réel retard en matière d’innovation et 81% n’ont aucune confiance en la capacité des politiques à être créatifs et innovants pour faire face aux enjeux actuels de la société. Un manque de confiance qui augmente avec l’âge des interviewés, puisque cette absence de confiance concerne 64% des jeunes de 18 à 24 ans contre 88% des 65 ans et plus.
Source : l'ADN
À quoi sert l’Agence du numérique créée par l’État ?
La secrétaire d’État au numérique Axelle Lemaire a donné mardi le coup d’envoi officiel de l’Agence du numérique, lors d’une inauguration organisée non pas dans les salons ministériels, mais à l’Usine IO, une sorte de fablab dédié aux entreprises. Composée de 40 personnes d’une moyenne d’âge de 31 ans, elle a « l’ambition d’incarner une forme d’administration, agile, créative, proche des acteurs de terrain, avec pour objectifs d’apporter de nouvelles réponses aux défis économiques, techniques et sociétaux liés à la transformation digitale de notre société ». Elle doit faire le lien entre l’État et les besoins concrets en numérique dans les territoires.
Source : Numerama