Bientôt 10 ans pour Scientipôle Capital, et plus de 29 participations à son actif. Parmi elles, Defacto, Innov+, Simpulse et GreenCREATIVE pour les plus récentes et Leosphère, Nutrivercell et Dotemu pour les plus matures. Pour donner un nouvel élan à son activité, la société de capital-risque vient de lever 3 millions d'euros auprès de la Banque Populaire Val de France et la Banque Populaire Rives de Paris (portant la capacité d'investissement à 10 millions : MAJ).
Bientôt 10 ans que Scientipôle Capital finance et soutien les jeunes entreprises innovantes franciliennes de moins de 8 ans. Toujours dans des domaines stratégiques comme l'énergie, le jeux, la santé ou encore le cloud, cette société de capital-risque a toujours su composer avec un modèle hybride composé à la fois de financement privé mais aussi de financements publics. Avec l'arrivée de ses nouveaux actionnaires, cette structure se veut être un véritable accélérateur de succès pour les projets d'entreprises innovantes.
A relire : #Finance : Scientipôle Capital, l’investisseur qui fait de l’amorçage autrement
"Ce qui nous a séduit dans le modèle proposé par Scientipôle Capital, c’est l’ancrage territorial, la synergie entre différents acteurs au service de ces jeunes pousses, la mise à disposition d’un vrai réseau local, la solidarité, l’expertise complétée d’un accompagnement sur mesure" , raconte Yves Gevin, directeur général de la Banque Populaire Rives de Paris
Ce nouvel outil de financement va également accompagner la démarche actuelle de la Banque Populaire Val de France, qui a lancé en octobre 2015, une structure dédiée baptisée Val de France Innovation, dispositif qui s'adresse aux startups. Ces dernières auront alors la possibilité d'avoir une relation privilégiée avec leur agence, et de bénéficier d'un accompagnement sur mesure avec les conseils des experts de la banque. L'offre bancaire adaptée aux besoins de ces jeunes pousses est donc un nouveau créneau dans lequel s'engage Val de France Innovation, au coeur d'un territoire dynamique en termes de recherche et développement.
A relire : Le plateau de Saclay est prêt à vivre une seconde existence