La Petite Tranche est une box de charcuterie haut de gamme proposant des pièces de qualité. Jeremy Artero, CEO de La Petite Tranche a souhaité répondre aux questions de la rédaction.
Quel est votre constat de départ ?
Le constat est simple, les consommateurs souhaitent trouver des saucissons de qualité à des prix corrects. Mais ce n’est pas facile ! Nous avons donc cherché différents moyens de s’en procurer. Et puisque rien ne nous satisfaisait, nous avons créé La Petite Tranche.
Quelle est votre solution ?
Notre solution est de révolutionner la digitalisation du saucisson. La Petite Tranche permet de se procurer de la charcuterie de qualité à prix abordable. Jusqu’à maintenant sous forme d’abonnement mensuel, mais demain sous forme de place de marché et toujours avec le même objectif : dénicher des produits délicieux tout en mettant le producteur et son savoir-faire en avant.
Quel est votre business model ?
Le business model est de mettre en contact des producteurs faisant des produits de qualité et des consommateurs prêts à payer le prix pour de la qualité. C'est donc du B2C avec un système de commandes groupées.
Qui sont les fondateurs ?
Quentin et moi-même sommes deux jeunes développeurs web parisiens. Nous travaillons ensemble dans une SSII, ça créé des liens ! En mission sur des projets assez peu motivants, nous avons réfléchi à des idées originales pour épicer notre quotidien. Quentin, d'origine Toulousaine, ressent rapidement le manque de sa région (le gras, les bons produits, etc...). Nous nous sommes donc tous allié avec Benoît et Soizic (commercial & designeuse) pour lancer le projet !
Pouvez-vous nous raconter votre plus belle anecdote de startuper ?
Ce n’est pas forcément une anecdote mais un fait. Ce que nous adorons au quotidien est la simplicité de contact avec les autres startups. Organiser un buffet, faire un échange de produits ou de bon procédés. Tout est rapide et simple entre startups ! C’est très encourageant au quotidien. Cet écosystème est magique.
Quelle a été votre plus grosse galère ?
Se retrouver avec une palette de 200 kilos de saucissons en pleine rue à Paris, seul. Sacrée expérience !
Une actualité particulière à mettre en avant ?
Nous ouvrons doucement la place de marché. On commence avec un producteur de Savoie et nous ouvrirons au fil de l’eau à d’autres. L’idée est de proposer des charcuteries en direct des producteurs mais sans le système de box. Un circuit court en réalité.